Stress et sommeil non reparateur : trouble du sommeil
Stress et sommeil non reparateur : trouble du sommeil
Stress et sommeil non reparateur
Plutôt que d'insomnies, il est préférable de parler de troubles du sommeil : endormissement, réveil nocturne ou réveil matinal, selon les phases auxquels ils apparaissent. Le réveil matinal angoissé est fréquemment en lien avec un état dépressif. De manière générale, si le stress entraîne un mauvais sommeil, mal dormir augmente la sensibilité émotionnelle et l’anxiété. Nous sommes face à un cercle vicieux. Pour en sortir, apprendre à gérer son stress en journée est le plus important. Malheureusement, cela n’est pas toujours chose aisée.
Que vous soyez petit ou gros dormeur, le besoin de sommeil, déterminé génétiquement, varie d’une personne à l’autre. Mais si nous n’avons pas tous besoin de 8 heures de sommeil par nuit, ce n’est pas une excuse pour se priver de sommeil. Notre temps de sommeil souffre trop souvent d’être la variable d’ajustement de nos emplois du temps. Et dans tous les cas, si vous réduisez la durée dont vous avez besoin, c’est sûr, votre sommeil ne sera pas suffisamment réparateur.
Les troubles du sommeil chez l’enfant sont le plus souvent dus à des infections du nez, de la gorge ou des oreilles, et parfois à des troubles digestifs, comme un reflux ou des coliques.
Comme chez l’adulte, un non-respect du rythme naturel ou une irrégularité des horaires sont très mauvais pour le sommeil, de même que des changements de lieu ou des rituels du coucher. L’enfant est bien sûr sensible à ses difficultés à l’école et à celles de la famille.