De quoi dépend la mémorisation active ?

De quoi dépend la mémorisation active ?

De quoi dépend la mémorisation active ?

Ce que beaucoup de gens ignorent sur la mémorisation active.

On a longtemps considérée les troubles de la mémoire chez les personnes âgées comme bénins ou du moins inévitables. Tout d'abord, il convient de se battre contre une idée reçue : non, la perte de mémoire n'est pas inévitable avec l'âge. Il peut exister une difficulté d'accès aux souvenirs mais pas de troubles de la mémoire. C'est une contre-vérité répandue, même chez certains généralistes. Si les cas de démence sont plus importants avec l'âge, il n'en reste pas moins que plus de 80 % des personnes entre 80 et 84 ans ne sont pas touchés par la maladie d'Alzheimer.

La solution dépend bien évidemment de la maladie en cause. La première étape consiste à subir une évaluation médicale pour « objectiver » la perte de mémoire et en mesurer l’ampleur. D’autres symptômes peuvent être décelés au moment de l’examen, comme le fait de mélanger des mots, d’avoir des troubles de l’écriture, des problèmes d’association logique.
Dans le cas de troubles de la mémoire sans démence associée chez un sujet âgé, l’objectif de la prise en charge est de retarder et de limiter la perte d’autonomie : en effet, les oublis répétitifs peuvent mettre la personne en danger et remettre fortement en question le maintien au domicile. La stimulation cognitive et sociale serait d'autant moins efficace qu'elles seraient entreprises tardivement.