Le moyen nécessaire au dépistage de l’herpès génital
Le moyen nécessaire au dépistage de l’herpès génital
Ce qu’il ne faut pas oublier sur le dépistage de l’herpès génital.
Chez la femme, les récidives se manifestent d’abord par des signes annonciateurs sous forme de picotements, de sensations de brûlure ou de douleur au niveau de la vulve ou du vagin. Puis une rougeur apparaît au niveau de la vulve ou du vagin, suivie de petites cloques, gonflées d’un liquide clair qui fourmille de virus. Ces cloques vont ensuite se rompre et évoluer vers de petites plaies circulaires à vif parfois très douloureuses.
Dès les premières apparitions des signes symptomatiques de cette maladie, il faut consulter un médecin. Des examens cliniques seront prescrits en conséquence ainsi que d’éventuelles analyses. En cas de lésions récentes, de simples prélèvements du liquide qui les remplit suffisent pour identifier le virus. Dans certains cas, comme au cours de la grossesse, la présence du virus est confirmée par une prise de sang.
Votre médecin pourrait aussi envisager de vous faire passer un test de PCR sur un échantillon de lésion. Un coton-tige stérile est frotté vigoureusement sur la base de la lésion en appliquant suffisamment de pression pour recueillir les cellules épithéliales sans provoquer de saignements ainsi que le fluide vésiculaire. Ils sont ensuite envoyés au laboratoire pour analyse.